Chambre de Donald

CHambre simple. Petite mais douilette. Une minuscule fenêtre avec des bareau.

-Je ne dors pas ici!
Donald bousculla le prêtre et s'enfuit. Il ne voulait pas de famille.

Joseph l'atrrapa par le colet. Il le plaqua contre le mur et lui pressa le cou.
-Calme ta petite personne ou je t'arrache les yeux.
IL jeta son enfant sur le sol.
-J'aimerai bien te tuer sur le champs et gouter à ta chaire, mais le moment n'est pas venu.. PAs encore. Il prit sa toge et attacha le jeune homme contre les bareau du lit. Il lui prit la tête et la pencha violemment au devant. Il sortit d'une poche une bouteille de blitchage. Il l'étendit sur toute la tête du prisonnier et frotta frénétiquement. Il s'essuya sur les vêtement de celui-ci.
-Si je t'entend crier, je te coud les lèvres ensembles, pigé?
Il s'éloigna et alla chercher des vêtements propres dnas sa chambre. Il y a quelque jours il avait fait des achat. Il avait déja tout planifier depuis longtemps. Il revint avec et arracha les vêtement crasseur du jeune homme.
-Tu es dégoutant, vermine.
Il le déhabilla. Le détacha le traina jusqu'a l'eau bénite et lui fouta la tête èa l'intérieur. Il frotta pour que la tinture parte. Du coup, pendant qu'il tenait la tête de Donald dans l'weau, il eu le gout de lui faire très mal. Il enfonvca son chapllet dans sa peau. Il écrivit de l'arabe ancien sur tout le dos du gamin. Il retira violemment la tête de leau et le laissa tomber sur le sol.
Cet enfant nu coucher sur le sol de bois lui donnait envie de vomir. Mêm,e l'eau bénite ne s'emblait pas assez propre pour enlever la crasse qui habitait le jeune homme. Il le trouna avec son pied,écoeurer de le toucher.
-Tes vêtements sont dans ta chambre.
Joseph se retourna pur sortir, mais s'arrêta sur le soeul de la porte.
-Lave ton sang avec ta langue si tu veux, mais je ne veux plus que ton venin gruge le sol de cette Église.
Il sortit et alal se promener dans la foret. La noirceur qui était aussi forte à l'extérieur que dans son coeur le calmait.

Donald était frapper de spasme. Ses poumons lui fesaient si mal, qu'il ne ressentait ni aucune douleur dans son dos ni le froid. Il resta un moment immobile, puis, il rempa tranquillement vers la pièece qu'on disait être sa chambre. Il s'habilla et resta coucher sur le sol. Il était si fatiguer, que même s'endormir ou perde concience demandait trop d'effort. Il resta les yeux ouvert et vide. A contempler et a divaguer.

Donald trouva une forc ene lui. Il se mit a genoux et ca lui prit d'innombrable coup pour réusir à se lever. Il chancella et se retint sur un mur. Sa vue était vague. IL agrippa l'encadrement de la porte et sortit de l'église en se tenant contre les murs.